Pour quoi ? - En collège 
			Échanger à propos de la réalité de chaque établissement, analyser 
			les situations, trouver des moyens pour agir. 
			L’enquête de rentrée du SNES-FSU montre que grâce à la mobilisation 
			des personnels, le « choc des savoirs » de Gabriel Attal ne 
			s’applique pas complètement à cette rentrée : une grande 
			désorganisation, des problèmes organisationnels, beaucoup 
			d’incertitude, mais aussi de volonté de ne 
			pas trier les élèves.			
			Les configurations sont très variables d'un établissement à l'autre 
			et, dès les premiers jours, élèves et enseignant·es ont pu mesurer 
			les incohérences et complications inutiles. Il 
			est encore temps, dans les établissements, d'imposer 
			collectivement des organisations qui respectent la liberté 
			pédagogique des enseignant·es et fassent réussir tous les élèves. 
			Des 
			collèges ont réussi à ne pas se laisser imposer cette aberration 
			pédagogique des groupes de niveaux.			
			Continuons la mobilisation pour obtenir l’abrogation du « choc des 
			savoirs ». 
						Clara RAGOT | 
			
			Pour quoi ? - En lycée 
			Échanger à propos de la réalité de chaque établissement, analyser 
			les situations, trouver des moyens pour agir.			
			 
			L’enquête de rentrée 2024 du SNES-FSU montre que dans les lycées de 
			l’académie, de nombreux postes sont non pourvus : des professeurs de 
			diverses disciplines mais aussi des PSY-EN, des personnels 
			infirmiers … 
			Grâce à la mobilisation des personnels, les effets des mesures portées par 
Gabriel Attal ont été amoindris tandis que certaines dispositions du « choc des 
savoirs » sont en suspens (obtention obligatoire du DNB pour accéder au lycée 
par exemple).Reste qu’il est important que nous fassions le point sur divers dispositifs qui 
ont été mis en place l’an dernier (ou en cette rentrée) afin de mieux lutter 
contre la politique de tri social menée actuellement : classes et lycées 
engagés, stage en seconde, prépa seconde … 
			Par ailleurs, le SNES-FSU exige toujours des allègements de 
			programmes et des aménagements d’épreuves pour les spécialités de 
			Terminale pour l’année scolaire 2024-2025. Il se veut force de 
			proposition (voir ici).
			Ne 
			nous laissons pas imposer des mesures qui sont des aberrations 
			pédagogiques. Mobilisons-nous pour obtenir les moyens de faire 
			réussir tous les élèves. 
			Continuons d’agir pour abroger le « choc des savoirs ». 
			Sébastien WAGNER – Patricia LALLOZ |